Dis-moi si tu donnes ta dîme et je te dirai qui tu es
Chaque année, dans tous les diocèses, l'Église collecte pendant une certaine période ce qu'elle appelle la dîme. Directement prélevée dans les impôts (de manière volontaire bien sûr) dans certains pays comme l'Allemagne, elle est en général récoltée dans les paroisses et correspond au dixième du salaire du fidèle.
Étant donné ma situation d'étudiante récemment devenue jeune professionnelle, j'ai longtemps ignoré cette collecte ou y ai participé de manière symbolique, ne sachant pas exactement à quoi correspondait le dixième de mon "salaire". Cette année, pour la première fois depuis bien longtemps, je bénéficie d'un revenu on ne peut plus fixe, et il m'est donc très facile de calculer ma dîme. Au départ, je n'en tenais pas compte je donnais à la quête ce que bon me semblait, généralement quelques pièces, peut-être un peu plus le dimanche, comme la plupart des fidèles. Or, un dimanche, je ne comptais qu'un gros billet et aucune monnaie. J'ai donc décidé - avec un petit pincement au cœur, je l'avoue - de donner mon gros billet. Ce jour-là, quelque chose a changé dans ma manière de voir la dîme. C'est comme si un déclic s'était produit. À partir de ce moment, j'ai commencé à calculer à combien équivalait ma dîme par messe (j'essaie d'aller à la messe tous les jours), gardant la partie la plus importante pour le dimanche.
Depuis lors, je dois témoigner que le Seigneur, qui connaît ma situation financière peu reluisante, me récompense de diverses façons pour ce geste envers notre Église. En d'autres mots, GOD PROVIDES! À chaque fois que je serre le cœur en pensant aux dépenses que je pourrais faire avec ma dîme, il me montre d'une manière ou d'une autre que je n'ai pas à craindre de manquer de quoi que ce soit.
"Le Seigneur est mon berger, rien ne saurait me manquer (Ps 23,1)". Ces paroles n'ont jamais été aussi vraies qu'avec la dîme! En ce temps de Carême où nous sommes appelés au détachement et à l'aumône, n'oublions pas que notre vieille mère l'Église a, elle aussi, besoin de notre générosité! Que l'Esprit Saint nous inspire et nous apprenne à prendre soin d'elle de la même manière qu'on le ferait avec notre mère biologique.
Pour conclure, je vous laisse avec cette réflexion sur la parole. Jésus nous a dit, en citant l'écriture (Exode 20,12): "Honore ton père et ta mère" (Mc 10, 19). Y a-t-il un plus beau moyen d'honorer notre Mère l'Église qu'en s'assurant qu'elle ne manque de rien?
Étant donné ma situation d'étudiante récemment devenue jeune professionnelle, j'ai longtemps ignoré cette collecte ou y ai participé de manière symbolique, ne sachant pas exactement à quoi correspondait le dixième de mon "salaire". Cette année, pour la première fois depuis bien longtemps, je bénéficie d'un revenu on ne peut plus fixe, et il m'est donc très facile de calculer ma dîme. Au départ, je n'en tenais pas compte je donnais à la quête ce que bon me semblait, généralement quelques pièces, peut-être un peu plus le dimanche, comme la plupart des fidèles. Or, un dimanche, je ne comptais qu'un gros billet et aucune monnaie. J'ai donc décidé - avec un petit pincement au cœur, je l'avoue - de donner mon gros billet. Ce jour-là, quelque chose a changé dans ma manière de voir la dîme. C'est comme si un déclic s'était produit. À partir de ce moment, j'ai commencé à calculer à combien équivalait ma dîme par messe (j'essaie d'aller à la messe tous les jours), gardant la partie la plus importante pour le dimanche.
Depuis lors, je dois témoigner que le Seigneur, qui connaît ma situation financière peu reluisante, me récompense de diverses façons pour ce geste envers notre Église. En d'autres mots, GOD PROVIDES! À chaque fois que je serre le cœur en pensant aux dépenses que je pourrais faire avec ma dîme, il me montre d'une manière ou d'une autre que je n'ai pas à craindre de manquer de quoi que ce soit.
"Le Seigneur est mon berger, rien ne saurait me manquer (Ps 23,1)". Ces paroles n'ont jamais été aussi vraies qu'avec la dîme! En ce temps de Carême où nous sommes appelés au détachement et à l'aumône, n'oublions pas que notre vieille mère l'Église a, elle aussi, besoin de notre générosité! Que l'Esprit Saint nous inspire et nous apprenne à prendre soin d'elle de la même manière qu'on le ferait avec notre mère biologique.
Pour conclure, je vous laisse avec cette réflexion sur la parole. Jésus nous a dit, en citant l'écriture (Exode 20,12): "Honore ton père et ta mère" (Mc 10, 19). Y a-t-il un plus beau moyen d'honorer notre Mère l'Église qu'en s'assurant qu'elle ne manque de rien?
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